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03 mai 2004

Commentaires

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cityzen

oui bah n'empêche que je préfère les miennes de dépêches que tu m'envoies et que je mets sur mon blog... parce qu'au moins, elles sont rigolottes !!! alors que là forcément, même Eric, qui ne sait ni lire, ni écrire, si on lui lisait, il s'ennuierait !

Nic'

Heu... c'est pas une décision politique qui, après des siècles d'oubli et d'abadon, fit renaître l'Hebreu comme langue fédératrice d'une nation naissante ?
Bon, alors, d'accord ça concernait certes moins de monde, réunis dans un pays plus petit, avec des liens religieux et historiques très forts...
Mais quand même... un bien bel exemple, non ?
Alors pourquoi pas le latin ?
M'enfous, moi, j'ai fait latin jusqu'en terminale... ça devrait pas être trop dur à s'y remettre...!! (même si j'ai fais jusqu'en terminale le désespoire de mes profs de latin...)
Ciao Bonn' à tous ! et plus particulièrement à l'Ourse !
He ! l'Ourse, il parait qu'on a pas loupé grand chose en ayant pas vu "myrtille"

Ferdiebear

Nic', cher ami, une fois de plus, vous parlez la langue de la raison ... ;-)
Je suis d'accord avec toi en théorie : le latin, pourquoi pas ? M'en fous aussi ('spèce de frimeur va, moi aussi j'ai fait du latin, à partir de la 5ème, en plus). Chanter une chanson en latin ? j'ai déjà fait. Et je le prouve : In silvam propinquam cuculus audimus ... Aha !
(NB : pour ceux qui n'auraient pas suivi la démonstration, envoyez-moi un mail pour de plus amples détails).
L'exemple de l'hébreu : joli, très joli, j'y avais pas pensé. Mais il y a quand même un bug à ton raisonnement. Nos langues dites romanes descendent bien toutes du latin, mais cela ne concerne que 5 des 20 langues parlées au sein de l'Union Européenne. La plupart des langues européennes viennent bien d'un ancêtre commun, sauf qu'il ne s'agit pas du latin, mais de l'indo-européen. En plus, à moins que je ne me gourre (mais a priori j'ai vérifié), ce n'est pas le cas du hongrois, du finnois ou de l'estonien. Alors le choix du latin s'impose-t-il vraiment ?
Message personnel : Nic', si on le voulait vraiment, on pourrait se faire une opinion par nous-mêmes, "myrtille" passe toujours ... Hé oui chuis très têtue. ;-)

Vé

Bah le latin...
Comme l'a si bien raisonné Ferdiebear, le latin n'est pas le plus grand dénominateur commun (pour rester dans les maths).
Et pourquoi pas l'espéranto ?
Moi je dis qu'on a qu'a le mmer (comme dirait l'âne de Schrek) parcequ'entre nous, avez vous déjà écouter les paroles des hymnes nationnaux ? Ben c'est pas terrible... Le nôtre emportant la palme pour sa propension guérrière et revencharde.
Allons laissons les paroles. Ce qui unit réellement les gens c'est l'histoire commune et le mélange.

cityzen

"In tanta calamitae quid faciamus, quid decemamus, id scire non possumus"

Oui, je sais... je sors.

Ferdiebear

Merci Vé pour ton soutien ! ;-)
Pour l'esperanto : l'idée est séduisante, mais ne pas oublier que cette langue complètement artificielle a été construite autour du latin ... on retombe donc sur le même problème.
J'ai une autre idée : yaka écrire des paroles faisant 25 vers ! Chaque vers étant écrit dans la langue officielle d'un des 25 pays de l'Union Européenne. Outre l'effort de mémoire pour apprendre tout ça, ça nous permettrait de nous familiariser avec chacune des langues des autres Européens. Ca vaut ce que ça vaut, comme idée, note bien ...
Pour Cityzen : t'as décidé de tous nous écraser au grand concours de frime latine ou quoi ? A moins qu'un autre concurrent ne se déclare in extremis (hé hé hé), tu remportes la médaille d'or du Latiniste Distingué de ce blog ... alors félicitations ! ;-)

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