Tiens ! Mais ça faisait longtemps !!
Quoi, mauvaise foi ! On vous a jamais dit que la meilleure défense c'était l'attaque ? :)
Ok, je suis absente depuis un moment. Je ne vais pas vous dire que ça va s'arranger, car à chaque fois que je l'ai fait, les circonstances ont fait que en fait, ben non.
Donc aujourd'hui, je ne fais que passer. Et toc. On va bien voir si on arrive à conjurer le sort...
Mais on papote, on papote, et le temps passe si vite...
Je suis donc passée aujourd'hui pour faire écho (cho, choo, chooooo... mmmrffff... oh ça va, ça va, oui j'ai honte, là c'est dit ! alors on va vite oublier cette vanne débile, ok ? En vous remerciant.) à une news un peu triste.
M. André Bellec est mort ce week-end. Snif.
J'imagine que ce nom ne vous dit rien ? Gens de peu de culture ! Ou alors, vous êtes né(e)(s) dans les années 1980, c'est ça ? Ah ça, si vous êtes des jeunots alors, vous êtes tout pardonnés. Alors, voilà :
André Bellec, donc, était le fondateur des Frères Jacques.
Pour ceux à qui vraiment ça ne dit rien, allez donc faire un tour sur ce site, et revenez après (si, si, je vous assure, reviendez !).
Alors d'accord, les Frères Jacques ça remonte aux années 40. Mais ils ont perduré jusqu'en 1982 et on les voyait encore beaucoup à la télé alors que je n'étais encore qu'une toute petite oursonne toute mignonne avec sa tétine et son hochet. Et mine de rien, quelque 30 ans plus tard (grmmmmpfff, oui bon, 35 ans !), je me souviens encore de leurs chansons si entraînantes, de leurs belles bacchantes, de leurs costumes de scène tellement inimitables (sauf dans Star Trek et encore) et de leurs chorégraphies... heu... ébouriffantes ?
Mais plutôt que de vous en parler, on va vous montrer. Musique Maestro !
(Avis préliminaire aux distraits, multitâches et autres liseurs en diagonale : attention, il faut écouter attentivement les paroles, sinon tout le sel de la chose pourrait vous passer par dessus la tête. Voire même ce petit bijou pourrait devenir rasoir, ce qui, vous en conviendrez aisément, serait du plus grand dommage. Allez, un petit effort, quoi, la grande musique, ça se mérite !)
La ceinture
Voilà. Un petit moment d'enfance qui s'en est allé. Snif again (non, pas à Moscou, pfff).
Mais mine de rien, ces quatre zigotos-là m'auront appris une chose : rien n'égale en drôlerie les pires âneries faites avec le plus grand sérieux.
Allez, un p'tit dernier pour la route ? Allons-y. Un grand moment de poésie. N'est-il pas ? Que du bonheur.
Le pacha
Commentaires